Ma vie c’est de la merde.

J’aurais pu dire ça il y a quelques années, si je n’avais pas pris CE taxi, qui l’a changea énormément. Mais vous ne vous imaginez même pas à quel point.

Le mieux serait de vous conter comment cela s’est passé, je suppose. Mais ça remonte à loin, donc je vais essayer de me rappeler de certains détails, mais je ne les connaîtrai pas tous. Bref, voici mon histoire.

Tout commence il y a vingt ans, jour pour jour. J’avais alors 17 ans, à quatre mois de la majorité. Mais je ne m’en souciais guère. Je me souciais plutôt de ma discretion. Après tout, avoir des pouvoirs attisait la jalousie des autres, donc je devais les cacher, sauf en cas d’urgence. Un cas d’urgence ? Le jour où j’ai déménagé, après m’être fait harceler. Mais je m’égare.

Donc le jour où ma vie à changé. Je venais de rater mon bus, comme tous les jours, mais ce jour-ci, je me décidai à appeler un taxi. Sans savoir pourquoi, mais j’en appellai un. Apres précisément 2 minutes, il arriva, et j’y montais. Sans remarquer la personne à côté de moi, qui elle, me remarqua.

“Hey !” Me fit me tourner vers elle, ce qui me permit de la voir. Une femme d’à peu près mon âge, les cheveux entre le brun et le blond, bouclés, les pointes visiblement colorées en violet, de grands yeux bruns, un nez plutôt fin, et un sourire qui me fit en donner un aussi. Elle portait une tenue noire, une grande jupe avec un haut dont les manches s'arrêtaient aux epaules, et qui paraissaient fusionnés. je n’osais regarder plus bas, mais devinais des collants blancs montant aux genoux et de petites chaussures légères, caractéristiques d’une lolita gothique. Mais je ne pouvais dire si elle avait ou non des talons. Je la saluai à mon tour, et entamai la conversation, sans me douter un seul instant de la suite...

To be continued...

Après quelques dizaines de minutes d’intense panique, Lana repris son calme. Elle essaya de se recoucher, pensant que c’était un cauchemar. Mais à son réveil à 7h43, son apparence restait inchangée. Elle commença a avoir les larmes aux yeux et pleura pendant quelques minutes. Mais à exactement huit heures, tous ses attributs disparurent sans laisser de traces. Lana paraissait sceptique. Elle attendit pendant de longues minutes, mais rien ne réapparut. Elle décida d’oublier, pensant que c’était une hallucination. Puis suivit le cours de sa matinée, comme si de rien n’était.

Elle se rendit au rendez-vous de l’après-midi, où l’attendait déjà Léon. Elle entama la discussion par lui raconter son “rêve”. Il la coupa tout de net.

“Ce n’était pas un rêve, mais une sorte de malédiction… C’est arrivé a des dizaines d’humains qui m’ont cotoyé… Ils devenaient des créatures de toutes sortes… Il y en a un qui se transformait en Darkrai et hantais son frère la nuit… Avant que chacun ne décide de se donner la mort, incapables de vouloir vivre avec ça…

- Mais c’est très bien ainsi… ça n’apparait que la nuit ?

- Oui, pendant huit heures. Mais le début change d’une personne à l’autre. Et peut même être en journée… Tu as de la chance toi, il ne s’agit que de la nuit…

- Et je deviens un peu comme toi… C’est peut-être pour nous-

- Rapprocher tu allais dire ? Les humains sont si prévisibles”

Ils partagèrent un rire joyeux, avant que Lana n’embrasse la joue de Léon. Leur discussion se raccourci, ponctuée d’avances discrètes de Lana. Puis vint le doux baiser, que Léon avança, et qui semblait ne vouloir s’arrêter. Ils allèrent ensuite chez Léon pour continuer la soirée, tranquillement.

To be continued

Il resta avec Lana, et prirent un autre chocolat chaud. La fumée sortant de ceux-ci s’ajouta aux nuages déjà présents et neigeux. Ils discutaient de tout et de rien, sans paraître vouloir s’arrêter un jour. Après deux bonnes heures, Lana finit par se révéler à contre-coeur et annonça :

“Je dois rentrer chez moi… Merci d’avoir discuté avec moi”

Elle sourit et lui fit une bise dans la joue avant de tourner les talons

“Euh, attends… on pourra se retrouver quelque part un jour, demanda Léon ?”

C’était invisible, mais Lana pouvait deviner que Léon avait les joues rouges. Elle proposa un rendez-vous le lendemain au même endroit, à la même heure, ce que Léon approuva. Puis elle rentra chez elle, pensant à la suite de cette nouvelle rencontre, et ce que pourra lui apporter un ami Lucario.

Mais dans la soirée, une nouvelle chose se produisit. Lana se releva à minuit pile, avec une douleur à la poitrine. Elle pensais que c’était passager, et elle ouvrit sa chemise de nuit. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’elle vit une plaque rouge entre ses deux attributs et une sorte d’énorme point noir en plein milieu. Point noir qui était entouré d’une fourrure jaunâtre. Elle cria lorsqu’une grande douleur la prit, tandis que le point noir se transforma en pique qu’un matériau proche de l’acier. Pique qui paraissait comme sortir de sa poitrine, pendant que la fourrure conquis tout son buste et son ventre.

Son nez et sa bouche commencèrent à s’allonger, comme un museau. Ses cheveux devinrent d’une couleur proche du cuivre, et des piques similaires à celle sur sa poitrine apparut à chaque main. Ses yeux devinrent d’un rouge sang, un trait noir les reliant. Son dos se recouvra d’une épaisse fourrure bleue, et ses jambes et cuisses s’amincirent, puis se recouvrirent d’un duvet noir.

Après un quart d’heure de douleurs infâmes, Lana se releva avec peine, et alla se regarder dans un miroir. Elle cria lorsqu’elle y vit Léon. Mais ce n’était pas lui, il n’avait pas de cheveux. Après une petite réflexion, Lana comprit : elle était devenue comme lui.

To be continued.

Les deux hommes ne lui laissèrent aucun répit, mais Shook pouvait entendre les quatre autres faire des bruits étranges, mais il devinait leurs actes. Les deux hommes agitaient leurs corps sur Shook, qui sentais une douleur à son arrière. Les gémissements des six hommes lui étaient insupportables, mais il ne pouvait faire quoi que ce soit. Il fut contraint à laisser les hommes abuser de son corps. Il ressentit ensuite une énorme douleur dans l’anus, et entendit plus de gémissements, signe qu’un deuxième membre l’avait pénétré violemment. Son cri fut assourdi par le membre qui reussi à s’enfoncer dans sa glotte, jusqu’au fond. Shook avait du mal à respirer,quand soudain, il ressentit un liquide chaud sur son épaule droite. Ce ne fut que le premier, car peu après ce fut dans son intestin qu’il le ressenti. Il hurla juste avant que sa bouche soit pleine d’un liquide visqueux qu’il essaya de cracher, mais avala en partie. Peu après, il fut entièrement recouvert de ce liquide blanchâtre, et ne crut pas en la suite : il était en érection.

To be continued.

Cette histoire-ci démarrera dans une ville assez bondée, mais verte. Nous y retrouvons Lana, jeune fille, prenant un chocolat chaud ce premier jour de l’année. Elle voulait le passer avec des amis, mais ceux-ci étaient partis vers d’autre horizons. Elle passait donc du temps seule, à admirer la neige tomber. Personne ne pouvait deviner qu’elle n’était pas une fille ordinaire. Qu’elle avait une petite subtilité nocturne. Mais bref, passons.

En cet après-midi déjà bien avancé, où elle était installée autour d’une table, à regarder le ciel, un sourire béat aux lèvres. Elle n'entendit pas une créature s’approcher. Imposante, paraissant forte, elle s’approcha de Lana, et posa sa main sur son épaule.

“Euh, excusez-moi mais… Avez-vous l’heure ?”

Lana se retourna et vit une bête pas très moche, voire même plutôt agréable à observer. Un long museau, une pointe sur le buste, une fourrure à l’apparence soyeuse, jaunie, un front noir et un oeil rouge perçant. Il n’était forcément pas humain. Mais Lana souris et lui répondit, regardant sur son téléphone rapidement.

“Il est exactement 17h34 monsieur… comment ?

- Oh euh je m’appelle Léon. Léon le Lucario. Et vous ?

- Moi c’est Lana, enchantée.

- De même.”

Lana tendis sa main et Léon sa joue. Petit moment de gêne qui disparut quand ils se serrèrent la main en se faisant la bise. Puis arriva un petit fou rire.

To be continued.